Je suis en mode cinéma en ce moment. Je suis donc allée voir le dernier film d'Ozon hier au soir avec M. GABY.
Superbes images comme d'habitude. Un travail sur la lumière exceptionnel. On a l'impression que chaque couleur, lumière est étudiée à la seconde prêt.
L'histoire : et bien surprenante et pas à la fois.
J'ai fréquenté quelques temps le milieu trav de Rouen, je trouvais ca vulgaire, caricatural.
Ozon a su en faire de la délicatesse, l'expression d'une souffrance et de l'amour.
Je suis une inconditionnelle de Romain Duris donc je ne suis pas objective, mais il y a beaucoup de travail sur la facon de parler, de bouger, de regarder. Ok c'est son métier il est acteur, mais quand même. Je ne connaissais pas Anais Demoustier, je vais la suivre d'un peu plus prêt.
Je ne vous raconte pas l'histoire, à vous de la découvrir.
Une nouvelle amie OZON
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Une nouvelle amie OZON
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Re: Une nouvelle amie OZON
Ah ! Merci Gaby pour cet avis
Je trépigne en attendant que le cinéma près de chez moi le mette à la programmation, étant moi aussi une inconditionnelle de Romain (depuis trèèèès longtemps) ET de François Ozon (plus récemment grâce à ce génialissime "Le nom des gens").
Donc...à suivre
Je trépigne en attendant que le cinéma près de chez moi le mette à la programmation, étant moi aussi une inconditionnelle de Romain (depuis trèèèès longtemps) ET de François Ozon (plus récemment grâce à ce génialissime "Le nom des gens").
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Re: Une nouvelle amie OZON
Il me fait envie ce film. J'espère que j'aurai le temps et l'occasion d'y aller !
Merci pour ta critique
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Re: Une nouvelle amie OZON
ça y est ! Je l'ai vu
Oui, parce que Ozon + Duris à l'affiche = immanquable
Une nouvelle fois, Ozon nous livre une vérité crue, une tranche de vie...
Le début du film ne passe pas par quatre chemins. Très vite, on comprend où on a mis les pieds.
On ne rit pas aux éclats, on ne pleure pas à chaudes larmes, on prend ce qu'Ozon nous offre avec beaucoup de sincérité et de nuance.
Autant le dire d'entrée, il mène la vie dure aux préjugés, aux apparences, et à la non moins à la mode "théorie du genre".
L'ambiguïté des personnages est joliment travaillée, et l'interprétation de Romain est étonnante de justesse (mais là, comme Gaby, je ne suis sans doute pas objective ).
Ozon ose : il ne rechigne pas (jamais d'ailleurs) à transgresser les codes de la société trop souvent normée, et tant pis pour les "bien-pensants" qui se seraient aventurés dans une salle par hasard !
Ozon ne cherche pas non plus à nous imposer une façon de penser ; il présente une histoire, et nous ne pouvons que constater...
Voilà, on en redemande
Oui, parce que Ozon + Duris à l'affiche = immanquable
Une nouvelle fois, Ozon nous livre une vérité crue, une tranche de vie...
Le début du film ne passe pas par quatre chemins. Très vite, on comprend où on a mis les pieds.
On ne rit pas aux éclats, on ne pleure pas à chaudes larmes, on prend ce qu'Ozon nous offre avec beaucoup de sincérité et de nuance.
Autant le dire d'entrée, il mène la vie dure aux préjugés, aux apparences, et à la non moins à la mode "théorie du genre".
L'ambiguïté des personnages est joliment travaillée, et l'interprétation de Romain est étonnante de justesse (mais là, comme Gaby, je ne suis sans doute pas objective ).
Ozon ose : il ne rechigne pas (jamais d'ailleurs) à transgresser les codes de la société trop souvent normée, et tant pis pour les "bien-pensants" qui se seraient aventurés dans une salle par hasard !
Ozon ne cherche pas non plus à nous imposer une façon de penser ; il présente une histoire, et nous ne pouvons que constater...
Voilà, on en redemande
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