arf, mais se marier ne signifie pas fagociter l'autreBiscuit a écrit :Si on voit les choses comme cela, pourquoi se marier ? Car finalement c'est ca la vraie question...
Pour ou contre le mariage
je suis ni pour ni contre le mariage...
en fait, je considère que c'est une manière comme une autre d'officialiser une relation, de la déclarer à tous (société, famille, amis), et cela a aussi donc des conséquences administratives qui facilitent éventuellement les choses pour la vie de couple que l'on imagine durer un petit moment.
mais mariage ou pacs ou concubinage... pour moi c'est à peu près la même chose.
d'autant que le tralala religieusobeauf autour du mariage coûtant les yeux de la tête.... je trouve ça sacrément repoussant.
mais tout le monde ne se marie pas en grande pompe, ni en passant par l'église
quant à la promesse d'amour éternel, fidèlité, etc... d'une manière ou d'une autre, il y a autant de risques en s'installant avec quelqu'un, en décidant de s'investir dans une relation... on ne peut jamais être totalement sûr(e).
mais bon, rien n'empêche d'y croire à deux, et la notion de fidèlité, amour, etc...reste subjective, donc là encore rien n'empêche un couple de définir à sa manière ces différentes notions, mariage ou pas.
en fait, je considère que c'est une manière comme une autre d'officialiser une relation, de la déclarer à tous (société, famille, amis), et cela a aussi donc des conséquences administratives qui facilitent éventuellement les choses pour la vie de couple que l'on imagine durer un petit moment.
mais mariage ou pacs ou concubinage... pour moi c'est à peu près la même chose.
d'autant que le tralala religieusobeauf autour du mariage coûtant les yeux de la tête.... je trouve ça sacrément repoussant.
mais tout le monde ne se marie pas en grande pompe, ni en passant par l'église
quant à la promesse d'amour éternel, fidèlité, etc... d'une manière ou d'une autre, il y a autant de risques en s'installant avec quelqu'un, en décidant de s'investir dans une relation... on ne peut jamais être totalement sûr(e).
mais bon, rien n'empêche d'y croire à deux, et la notion de fidèlité, amour, etc...reste subjective, donc là encore rien n'empêche un couple de définir à sa manière ces différentes notions, mariage ou pas.
adorable teigne
Après lecture de vos posts, je voulais dire que le mariage je ne suis ni pour ni contre, si les personnes sont heureuses c'est très bien, ce qui me désole c'est de voir les divorces après ...
A l'époque je pense que j'aurai pensé que le mariage, le pacs étaient un moyen de finaliser une relation, mais je ne suis plus certaine de cela. Le principal est d'être bien avec la personne, et le fait de s'installer avec celle-ci c'est déjà une promesse en soi, je trouve en tout cas. Le mariage ou le pacs pourquoi après tout mais si c'est pour divorcer, je préfère m'abstenir, si un jour je me marie ou me pacs c'est que pour moi ca sera la personne avec qui je veux rester toute ma vie .... mais je ne l'ai pas trouvée encore !!!
A l'époque je pense que j'aurai pensé que le mariage, le pacs étaient un moyen de finaliser une relation, mais je ne suis plus certaine de cela. Le principal est d'être bien avec la personne, et le fait de s'installer avec celle-ci c'est déjà une promesse en soi, je trouve en tout cas. Le mariage ou le pacs pourquoi après tout mais si c'est pour divorcer, je préfère m'abstenir, si un jour je me marie ou me pacs c'est que pour moi ca sera la personne avec qui je veux rester toute ma vie .... mais je ne l'ai pas trouvée encore !!!
je sais cela Steph c'est pour ca que je reste seule, la peur de la rupture et que je ne me marie pas car peur du divorceSteph a écrit :je suis étonnée de lire la peur du divorce dans ces posts...(sans jugement, on s'entend ). ne pas se marier n'a jamais empeché une rupture...
je me prend la tete mais j'ai peur j'y peux rien, si je tiens à une personne, j'ai peur de m'attacher à elle et puis pouffff un jour, de la perdre.... On va résumé cela par un manque de confiance mais je me soigne
- Steph
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je pense que là on dépasse le cadre du mariage, mais effectivement, j'entends souvent (par exemple de ma mère) ton argument; et je conçois également que ce soit beaucoup plus profond que ça.
Je pense qu'il est légitime de penser de cette manière après une ou plusieurs rupture, mais après c'est philosophique et culturel:
*d'un coté la philosophie épicurienne/boudhiste qui consisterait à s'affranchir besoins affectifs pour être heurex
*de l'autre considérer que "fuir le bonheur de peur qu'il ne se sauve" est y renoncer.
Pour ma part, si je ne me marie pas, ce ne sera pas par crainte du divorce(en l'état actuel des choses )
Je pense qu'il est légitime de penser de cette manière après une ou plusieurs rupture, mais après c'est philosophique et culturel:
*d'un coté la philosophie épicurienne/boudhiste qui consisterait à s'affranchir besoins affectifs pour être heurex
*de l'autre considérer que "fuir le bonheur de peur qu'il ne se sauve" est y renoncer.
Pour ma part, si je ne me marie pas, ce ne sera pas par crainte du divorce(en l'état actuel des choses )
Un cavalier
Qui surgit hors de la nuit
"je suis un mec un peu mec mais pas trop mec" L.F
Qui surgit hors de la nuit
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On termine le hors sujet par ceci : c'est vrai que cette citation me correspond bienSteph a écrit : *de l'autre considérer que "fuir le bonheur de peur qu'il ne se sauve" est y renoncer.
J'ai faillit me marier mais au dernier moment, je suis partie et j'ai quitté la personne car cela allait être une erreur plus qu'autre chose, ensuite parce que je n'étais pas amoureuse et que nous étions pas fait l'un pour l'autre. Aujourd'hui je n'ai aucun regret d'être partie, et que si un jour je me marie ou me pacs ca sera important pour moi et donc c'est que je serai amoureuse, très amoureuse sinon non merci j'attends, je ne suis pas presséeSteph a écrit : Pour ma part, si je ne me marie pas, ce ne sera pas par crainte du divorce(en l'état actuel des choses )
bin justement, c'est une des choses que je "reproche" au mariage.Steph a écrit :je suis étonnée de lire la peur du divorce dans ces posts...(sans jugement, on s'entend ). ne pas se marier n'a jamais empeché une rupture...
D'institutionnaliser un modèle dans lequel rupture = échec, ce qui finalement généralise l'idée. Et on se met tous à craindre la rupture, marié ou pas.
syl
- Cyrille
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Il faut faire le calcul, évaluer la durée de viabilité du mariage et voir si l'argent gagné sur le fisc compensera le coût du divorce
Plus sérieusement, chacun voit midi à sa porte.
Il y a des mariages qui me touchent réellement parce que fruits d'un désir commun à 2 personnes d'officialiser leur union devant un Dieu auquel ils croient.
Et puis il y a ceux qui me révoltent parce qu'organisés pour faire plaisir aux parents (ceux dans lesquels le père mène sa fille au marié comme on menait autrefois la vierge au taureau), ou pire encore, les mariages décidés pour se rassurer mutuellement par une promesse bidon d'amour éternel. Des années plus tard, les époux se lancent : "Tu m'as promis fidélité, on est mariés c'est pour la vie !" Des mariages pour lesquels l'expression "la corde au cou" est particulièrement appropriée.
Tiens ça me rappelle une anecdote : à force de penser "condoléances", il m'est arrivé une fois de le sortir à la mariée au moment des félicitations 10 mois plus tard, ils divorçaient.
Plus sérieusement, chacun voit midi à sa porte.
Il y a des mariages qui me touchent réellement parce que fruits d'un désir commun à 2 personnes d'officialiser leur union devant un Dieu auquel ils croient.
Et puis il y a ceux qui me révoltent parce qu'organisés pour faire plaisir aux parents (ceux dans lesquels le père mène sa fille au marié comme on menait autrefois la vierge au taureau), ou pire encore, les mariages décidés pour se rassurer mutuellement par une promesse bidon d'amour éternel. Des années plus tard, les époux se lancent : "Tu m'as promis fidélité, on est mariés c'est pour la vie !" Des mariages pour lesquels l'expression "la corde au cou" est particulièrement appropriée.
Tiens ça me rappelle une anecdote : à force de penser "condoléances", il m'est arrivé une fois de le sortir à la mariée au moment des félicitations 10 mois plus tard, ils divorçaient.
- Bixy
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Attention aux idées reçues, on paye parfois plus d'impots en étant mariés ou pacsés qu'en restant célibataires...Cyrille a écrit :Il faut faire le calcul, évaluer la durée de viabilité du mariage et voir si l'argent gagné sur le fisc compensera le coût du divorce
Le seul truc qui est vrai c'est que la première année, surtout si le mariage ou le pacs a eu lieu en milieu d'année, il est fréquent de ne rien payer du tout, à cause d'un calcul que je trouve abérant et qui doit constituer un manque à gagner pour le pays non négligeable...
Pour la suite, à examiner au cas par cas !
J'ai l'impression que ces mariages là sont les plus nombreux, mais j'ose espérer que ce n'est qu'une impression...Cyrille a écrit :Et puis il y a ceux qui me révoltent parce qu'organisés pour faire plaisir aux parents (ceux dans lesquels le père mène sa fille au marié comme on menait autrefois la vierge au taureau), ou pire encore, les mariages décidés pour se rassurer mutuellement par une promesse bidon d'amour éternel. Des années plus tard, les époux se lancent : "Tu m'as promis fidélité, on est mariés c'est pour la vie !" Des mariages pour lesquels l'expression "la corde au cou" est particulièrement appropriée.
Bixy
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Depuis tout jeune je connais la signification qu'avais dans le temps le fait que le père amène la mariée jusqu'a l'autel. Mais honnetement, même en le sachant, je n'ai jamais eu l'impression que ca avais cette signification sur le moment.Cyrille a écrit :ceux dans lesquels le père mène sa fille au marié comme on menait autrefois la vierge au taureau
Je crois que pour la grande majorité, c'est simplement une tradition, une facon de faire participer les parents, sans signification machiste particulière. (un peu comme le fait de tenir la porte a un femme ou lui avancer sa chaise ne signifie pas forcement qu'on cherche a la rabaisser).
Mais ca serais peut-etre pas une mauvaise chose si on faisait la même chose avec le marié, pour équilibrer.
Sinon, je crois que beaucoup se marient plus par plaisir que par interet. Dans ce cas, il serais peut-etre bon d'alleger toute la lourdeur administrative, et d'accorder certains des avantages du mariage aux autres formes de couple, pour que le choix soit de se marier, soit de se pacser, soit juste de vivre ensemble "comme ca" resulte plus d'une envie personnelle, au lieu de prendre en compte pleins de loi et de reglements.
[img]http://membres.lycos.fr/thearne/bimg/avatar/downbib.gif[/img] ... comme un goût de ver dans la bouche ...
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mais on fait la même chose ! normalement, tout le monde attend (au frais) dans l'église, et le marié entre le premier dans l'église au bras de sa mère, qui le dépose à l'autel...Mais ca serais peut-etre pas une mauvaise chose si on faisait la même chose avec le marié, pour équilibrer.
puis la mère de la mariée arrive au bras du père du marié...
et quand tout ce petit monde est installé, entrent les enfants d'honneurs qui sont devant la mariée, qui arrive au bras de son père...
Et bien pour ma part je ne considère pas le mariage comme une perte de temps.
Avant de me marier je n'ai pas consulté le taux de divorce comme on consulte la météo avant de sortir faire une ballade, je me marie pour moi et pour nous, pas pour donner raison ou tort aux sondages.
Et j'aime le risque car je ne crois pas que je me serais marié si on avait du m'imposer un contrat de mariage, c'est justement ce qui enlève toute la signification (romantique ? romanesque ? idéalisée ?) profonde de cet acte à mes yeux.
Mais je rejoins l'opinion de Cyrille, chacun voit midi à sa porte.
Avant de me marier je n'ai pas consulté le taux de divorce comme on consulte la météo avant de sortir faire une ballade, je me marie pour moi et pour nous, pas pour donner raison ou tort aux sondages.
Et j'aime le risque car je ne crois pas que je me serais marié si on avait du m'imposer un contrat de mariage, c'est justement ce qui enlève toute la signification (romantique ? romanesque ? idéalisée ?) profonde de cet acte à mes yeux.
Mais je rejoins l'opinion de Cyrille, chacun voit midi à sa porte.