Journée mondiale de lutte contre le sida
- xender
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Quant aux bi, n'en parlons pas !!!!Les hétéros, cible non prioritaire
Le sida a beau être grande cause nationale, la prévention patine.
Aux quoi ???
http://www.liberation.fr/page.php?Article=316669
Discuter avec un troll, c’est comme essayer de jouer aux échecs avec un pigeon.
Tu as beau être très fort aux échecs, il arrive, renverse les pièces, chie sur l’échiquier
et s’en va avec l’air supérieur comme s’il avait gagné.
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- intellolynxe
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les trans connaissent pas plus !
on avait fait une campagne de prévention sida l'année dernière avec Act-up, rien à faire
de même que l'Etat français continuer à nier l'existence des personnes trans en les rejetant de l'observatoire des discriminations, il nie la contamination dans ce groupe
or, une partie de la clientèle de la prostitution, fréquentant travestis, transgenre et transsexes nonop, demandent des relations non protégées en proposant eux-mêmes un tarif plus important
les transexes postop sont supposées être intégrées dans la société et réputer se fondre dans l'anonymat
quant aux hommes transsexuels, ils appaissent si rarement que le bon peuple est étonné à chaque fois
bref, les trans n'existent pas : ils sont réputés faire un trajet de transition et retourner à la binarité hétérosexuelle circulaire
on avait fait une campagne de prévention sida l'année dernière avec Act-up, rien à faire
de même que l'Etat français continuer à nier l'existence des personnes trans en les rejetant de l'observatoire des discriminations, il nie la contamination dans ce groupe
or, une partie de la clientèle de la prostitution, fréquentant travestis, transgenre et transsexes nonop, demandent des relations non protégées en proposant eux-mêmes un tarif plus important
les transexes postop sont supposées être intégrées dans la société et réputer se fondre dans l'anonymat
quant aux hommes transsexuels, ils appaissent si rarement que le bon peuple est étonné à chaque fois
bref, les trans n'existent pas : ils sont réputés faire un trajet de transition et retourner à la binarité hétérosexuelle circulaire
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Oui en clair on en revient aux aprioris et autres remarques biphobes...Biscuit a écrit :De toute facon lorsque bisexualité et MST sont associées dans le meme texte, c'est jamais très positif. Le bi y est décrit comme étant celui qui contracte et refile le plus d'infections, de part ses pratiques forcément à risque puisqu'il est bi... no comment
On ne le dit jamais assez : N'oubliez pas de vous couvrir !!!
Je suis un toy-boy ! (encore un double sens)
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- Steph
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Quels sont les risques des trans postops par rapport au reste de la population?Yeuse a écrit : les transexes postop sont supposées être intégrées dans la société et réputer se fondre dans l'anonymat
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Un cavalier
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"je suis un mec un peu mec mais pas trop mec" L.F
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Bon, c'étais une boutade, mais justement non !Scorpio a écrit :La seule façon sûre et certaine pour ne pas attraper le sida, c'est de l'avoir déjà !
En dehors de ça, y a toujours des risques, même sans jamais faire de câlins...
Le virus du Sida a une grande variabilité, ce qui fait qu'il y a plusieurs souches. C'est justement cette variabilité qui gène la mise au point d'un vaccin.
En cas de réinfection, le virus ne sera donc pas exactement le même que la première fois, et ce second virus pourra d'autant mieux faire des ravages qu'il n'est pas encore connu du systeme immunitaire et que ce dernier est très affaibli.
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steph > les mêmes à un détail près : il s'imaginent et notamment les filles que leur sexe (dont la paroi interne est faite de peau et non de la muqueuse) les protègent d'une pénétration du virus à travers cette peau : erreur fatale
par ailleurs, pas mal de transsexes, et notamment transselles (transexualisme féminin) contrairement au groupe social des homo et bi intégrés et assimilés, relèvent d'une population à risque au double sens de la contamination et de l'absence d'intégration réelle, notamment sociopsychologique : les gens sont tellement déstabilisés par cette histoire depuis si longtemps, elles ont tellement l'habitude d'être traitées en cinglés ou en sujet hors-normes, à être écartées, discriminés et niées dans leur existence elle-même (comme les intersexes), tellement habituées au désert affectif et sexuel, qu'elles en viennent à prendre des risques avec les premiers venus, histoire de ne pas louper encore un train dans leur existence
même les associations n'arrivent pas à mettre en place une information cohérente à la protection du VIH car elles gèrent des situations d'urgence en permanence et donc des gens au saut de leur trajectoire : rien avant, rien après
elles ne peuvent qu'espérer que l'information va passer à ce moment-là
par ailleurs, pas mal de transsexes, et notamment transselles (transexualisme féminin) contrairement au groupe social des homo et bi intégrés et assimilés, relèvent d'une population à risque au double sens de la contamination et de l'absence d'intégration réelle, notamment sociopsychologique : les gens sont tellement déstabilisés par cette histoire depuis si longtemps, elles ont tellement l'habitude d'être traitées en cinglés ou en sujet hors-normes, à être écartées, discriminés et niées dans leur existence elle-même (comme les intersexes), tellement habituées au désert affectif et sexuel, qu'elles en viennent à prendre des risques avec les premiers venus, histoire de ne pas louper encore un train dans leur existence
même les associations n'arrivent pas à mettre en place une information cohérente à la protection du VIH car elles gèrent des situations d'urgence en permanence et donc des gens au saut de leur trajectoire : rien avant, rien après
elles ne peuvent qu'espérer que l'information va passer à ce moment-là
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- Bixy
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1 an plus tard, les chiffres sont toujours aussi importants, et la prévention dans tout ca ? je la trouve bien timide...
(source : nouvel obs)
SIDA: l'épidémie progresse en France
AP | 30.11.05 | 19:56
PARIS (AP) -- Sept mille personnes ont découvert leur séropositivité l'an dernier en France, contre 6.000 en 2003, selon les chiffres communiqués par l'Institut de veille sanitaire (InVS). Environ un quart avait été contaminé dans les six mois précédant le diagnostic.
Deux populations sont particulièrement touchées, les homosexuels et les personnes d'Afrique subsaharienne, alors que la réduction de la transmission du VIH chez les usagers de drogue se confirme. Les homosexuels masculins représentent 24% des découvertes de séropositivité en 2004 et leur nombre est en augmentation.
Inquiétant, le taux de rapports non protégés réguliers est en hausse: il a doublé entre 1997 et 2004. De surcroît, c'est chez les personnes séropositives que la prise de risque est la plus fréquente (56% contre 28% pour les homosexuels séronégatifs). Le nombre de cas de SIDA a augmenté de 44% entre 1998 et 2004, alors que dans le même temps, le nombre de cas diminuait de 52% chez les Français.
Chez les personnes d'origine subsaharienne, les contaminations sont majoritairement hétérosexuelles et concernent avant tout les femmes qui, en 2004, représentent deux tiers des découvertes de séropositivité. L'an dernier, 32% des dépistages de séropositivité concernaient une personne de ce groupe.
Les personnes contaminées par rapports hétérosexuels, de nationalité française, ont représenté une "proportion non négligeable" (17%) du nombre de nouveaux cas en 2004, mais "stable" sur un an, selon l'InVS.
Au total, 4,9 millions de tests ont été effectués l'an dernier. Les dépistages augmentent de 4% par an depuis 2001, probablement sous l'influence des campagnes. En France, on compte environ 110.000 patients séropositifs, dont la majorité sont suivis à l'hôpital. AP
(source : nouvel obs)
SIDA: l'épidémie progresse en France
AP | 30.11.05 | 19:56
PARIS (AP) -- Sept mille personnes ont découvert leur séropositivité l'an dernier en France, contre 6.000 en 2003, selon les chiffres communiqués par l'Institut de veille sanitaire (InVS). Environ un quart avait été contaminé dans les six mois précédant le diagnostic.
Deux populations sont particulièrement touchées, les homosexuels et les personnes d'Afrique subsaharienne, alors que la réduction de la transmission du VIH chez les usagers de drogue se confirme. Les homosexuels masculins représentent 24% des découvertes de séropositivité en 2004 et leur nombre est en augmentation.
Inquiétant, le taux de rapports non protégés réguliers est en hausse: il a doublé entre 1997 et 2004. De surcroît, c'est chez les personnes séropositives que la prise de risque est la plus fréquente (56% contre 28% pour les homosexuels séronégatifs). Le nombre de cas de SIDA a augmenté de 44% entre 1998 et 2004, alors que dans le même temps, le nombre de cas diminuait de 52% chez les Français.
Chez les personnes d'origine subsaharienne, les contaminations sont majoritairement hétérosexuelles et concernent avant tout les femmes qui, en 2004, représentent deux tiers des découvertes de séropositivité. L'an dernier, 32% des dépistages de séropositivité concernaient une personne de ce groupe.
Les personnes contaminées par rapports hétérosexuels, de nationalité française, ont représenté une "proportion non négligeable" (17%) du nombre de nouveaux cas en 2004, mais "stable" sur un an, selon l'InVS.
Au total, 4,9 millions de tests ont été effectués l'an dernier. Les dépistages augmentent de 4% par an depuis 2001, probablement sous l'influence des campagnes. En France, on compte environ 110.000 patients séropositifs, dont la majorité sont suivis à l'hôpital. AP
Bixy
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C'est ça qui me tue le plus !Biscuit a écrit :De surcroît, c'est chez les personnes séropositives que la prise de risque est la plus fréquente (56% contre 28% pour les homosexuels séronégatifs).
Ils sont contaminés, le savent et osent prendre des risques !
Comment peut-on faire ça ? J'appelle ça de l'homicide indirect mais volontaire.