bib : j'en ai réveillé mon copain!!!la bigazette
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Cyrille
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Dépêche spéciale : la zorra masquée se serait fait mordre par une vampiresse embusquée au fond d'un couloir sombre. On ignore encore le degré de contamination.
Chose curieuse, ce ne sont pas ses dents qui semblent s'allonger, mais plutôt un organe se trouvant au niveau de son bas-ventre
Nous craignons fort l'émergence d'un nouveau genre se reproduisant de curieuse manière
Chose curieuse, ce ne sont pas ses dents qui semblent s'allonger, mais plutôt un organe se trouvant au niveau de son bas-ventre
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Chaynal
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Scandale à Montpellier
Une jeune femme revendique le droit de se comporter comme un homme
Mademoiselle S., enseignante en sciences, a été surprise en flagrant délit de miction dans les toilettes des hommes. La police, présente sur les lieux pour un contrôle d'identité sur la personne d'un jeune suspect d'origine marocaine, l'a prise sur le fait après qu'elle eut tenu la porte à un membre des Compagnies Républicaines de Sécurité qui s'apprêtait à sortir.
Cette jeune délinquante a non seulement reconnu les faits, mais s'est en plus rendue coupable d'outrage à agent en disant, je cite, "Mais pourquoi je pourrais pas être un mec, d'abord ?", puis en réclamant, une fois dans la cellule du commissariat, "le droit de roter en buvant une bière devant le match de foot OM-PSG, comme les beaufs".
La coupable créature a fait appel à une tierce personne pour sa libération sous caution. Monsieur C., enseignant en sciences lui aussi, qui s'est présenté comme un ami de la jeune femme, a été immédiatement mis en garde à vue pendant 72h. Il a avoué que le jeune femme présentait ces comportements répréhensibles depuis plusieurs années, et a été inculpé pour non-dénonciation de délit avec préméditation.
Les services de police, après enquête, ont découvert l'ampleur de la perversité de mademoiselle S.
Des données récupérées sur son matériel informatique indiquent de façon certaine qu'elle avait des relations sexuelles avec d'autres femmes.
Le juge d'instruction en charge de l'enquête a déclaré, hier soir, devant un parterre de journalistes dûment assermentés, avoir mis à jour un vaste réseau subversif.
Le chef de ce réseau, Monsieur B., musicien (sic !), habitant dans la banlieue d'Avignon, faisait de la propagande bisexuelle. Il séduisait ses victimes en utilisant pour pseudonyme un nom de friandise sucrée. Sa compagne, Mademoiselle B., technicienne de laboratoire, a été convaincue de complicité.
Plusieurs membres de ce réseau sont en fuite. Ce sont de dangereux déviants, tous coupables de propagande subversive et d'actes contre nature :
- Mademoiselle J. (Vienne), modèle (sic !) et sans doute égérie du mouvement ;
- Mademoiselle C. (Montrouge), prétendument fidèle à la religion d'Etat, agent double infiltrée dans la bonne société ;
- Monsieur B. (Haut-Rhin), coupable d'utilisation détournée d'image d'une honnête entreprise française ;
- Mademoiselle Y. (Marseille), artiste (décidément !), tête pensante du réseau ;
Tous ont rédigé plus de 1450 appels différents à la subversion.
Le Ministre des Moeurs Légales et des Affaires Familiales a déclaré qu'une liste exhaustive des membres actifs de ce réseau terroriste sera distribuée prochainement, et rappelle à l'ensemble des citoyens le devoir de délation concernant les comportements subversifs.
"Nous ne saurions tolérer que la galanterie, valeur fondamentale de notre glorieuse autocratie, soit remise en cause par des individus marginaux, désaxés et sans scrupules. Les hommes et femmes de ce pays doivent être confortés dans leurs droits les plus essentiels. " a-t-il conclu à la fin de son allocution.
Une jeune femme revendique le droit de se comporter comme un homme
Par notre correspondant local, Chaynal.
Mademoiselle S., enseignante en sciences, a été surprise en flagrant délit de miction dans les toilettes des hommes. La police, présente sur les lieux pour un contrôle d'identité sur la personne d'un jeune suspect d'origine marocaine, l'a prise sur le fait après qu'elle eut tenu la porte à un membre des Compagnies Républicaines de Sécurité qui s'apprêtait à sortir.
Cette jeune délinquante a non seulement reconnu les faits, mais s'est en plus rendue coupable d'outrage à agent en disant, je cite, "Mais pourquoi je pourrais pas être un mec, d'abord ?", puis en réclamant, une fois dans la cellule du commissariat, "le droit de roter en buvant une bière devant le match de foot OM-PSG, comme les beaufs".
La coupable créature a fait appel à une tierce personne pour sa libération sous caution. Monsieur C., enseignant en sciences lui aussi, qui s'est présenté comme un ami de la jeune femme, a été immédiatement mis en garde à vue pendant 72h. Il a avoué que le jeune femme présentait ces comportements répréhensibles depuis plusieurs années, et a été inculpé pour non-dénonciation de délit avec préméditation.
Les services de police, après enquête, ont découvert l'ampleur de la perversité de mademoiselle S.
Des données récupérées sur son matériel informatique indiquent de façon certaine qu'elle avait des relations sexuelles avec d'autres femmes.
Le juge d'instruction en charge de l'enquête a déclaré, hier soir, devant un parterre de journalistes dûment assermentés, avoir mis à jour un vaste réseau subversif.
Le chef de ce réseau, Monsieur B., musicien (sic !), habitant dans la banlieue d'Avignon, faisait de la propagande bisexuelle. Il séduisait ses victimes en utilisant pour pseudonyme un nom de friandise sucrée. Sa compagne, Mademoiselle B., technicienne de laboratoire, a été convaincue de complicité.
Plusieurs membres de ce réseau sont en fuite. Ce sont de dangereux déviants, tous coupables de propagande subversive et d'actes contre nature :
- Mademoiselle J. (Vienne), modèle (sic !) et sans doute égérie du mouvement ;
- Mademoiselle C. (Montrouge), prétendument fidèle à la religion d'Etat, agent double infiltrée dans la bonne société ;
- Monsieur B. (Haut-Rhin), coupable d'utilisation détournée d'image d'une honnête entreprise française ;
- Mademoiselle Y. (Marseille), artiste (décidément !), tête pensante du réseau ;
Tous ont rédigé plus de 1450 appels différents à la subversion.
Le Ministre des Moeurs Légales et des Affaires Familiales a déclaré qu'une liste exhaustive des membres actifs de ce réseau terroriste sera distribuée prochainement, et rappelle à l'ensemble des citoyens le devoir de délation concernant les comportements subversifs.
"Nous ne saurions tolérer que la galanterie, valeur fondamentale de notre glorieuse autocratie, soit remise en cause par des individus marginaux, désaxés et sans scrupules. Les hommes et femmes de ce pays doivent être confortés dans leurs droits les plus essentiels. " a-t-il conclu à la fin de son allocution.
"N’oublions jamais que le droit au rêve ne prend toute sa valeur qu’accompagné du droit à la lucidité." - Georges Charpak
merveilleux Chaynal j'suis aussi expldrrrrr 
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Gothickittycat
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Steph
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sans vouloir faire ma chieuse, vous me connaissez...-
je constate quand même certains points choquants dans ce texte:
ça sent l'erreur judiciaire à plein nez, moi je dis
je constate quand même certains points choquants dans ce texte:
Bon je ne veux pas être méchante, mais quand même, là il y a eu de la balance dans l'airMonsieur C., enseignant en sciences lui aussi, qui s'est présenté comme un ami de la jeune femme, a été immédiatement mis en garde à vue pendant 72h. Il a avoué que le jeune femme présentait ces comportements répréhensibles depuis plusieurs années
En quoi le fait de conserver des films dont les héroïnes principales sont des femmes prouvent que l'accusée en question-qui si ça se trouve est chaste pure et innocente-s'adonne à ce genre de plaisirs interdits?Des données récupérées sur son matériel informatique indiquent de façon certaine qu'elle avait des relations sexuelles avec d'autres femmes.
ça sent l'erreur judiciaire à plein nez, moi je dis
Un cavalier
Qui surgit hors de la nuit
"je suis un mec un peu mec mais pas trop mec" L.F
Qui surgit hors de la nuit
"je suis un mec un peu mec mais pas trop mec" L.F