Bisexualité, "périodes" et fluctuations d'attirances
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Bisexualité, "périodes" et fluctuations d'attirances
Je n'ai pas trouvé de sujet consacré à ça, mais je l'ai déjà vu évoqué dans au moins un sujet de "cas personnel" (je ne sais plus lequel par contre ) : quand on est bi, on est constamment attiré par les deux sexes, mais on peut éprouver une attirance un peu (voire beaucoup) plus forte pour l'un des deux sexes pendant une période donnée... et après ça change... et après ça change encore !
Personnellement, c'est quelque chose que j'ai pu observer assez régulièrement, de façon plus ou moins prononcée selon les moments. Même au plus fort d'un de ces "pics", je suis toujours manifestement attiré par les deux sexes (impossible de me leurrer là-dessus, il me suffit de regarder les gens autour de moi dans la rue), mais il y a des "périodes" (jours, semaines) où j'ai des "vagues" plutôt hétéro ou plutôt homo, comme si ma "tendance érotique" du moment se portait tantôt sur un sexe, tantôt sur l'autre. Mais cette espèce de mouvement de balancier dans la prédominance d'un désir sur l'autre n'a rien de systématique : il y a aussi des périodes (de plus en plus longues dans mon cas, à ce qu'il me semble) où je suis aussi fortement attiré par les deux.
Avez-vous déjà ressenti quelque chose de ce genre ? Quelque chose qui ressemble à ce que je décris là, ou alors en plus fort, ou en moins prononcé ? Et à quoi ces oscillations peuvent-elles être dues ? Mécanismes physiologiques ? Mécanismes psychologiques ? Biphobie intériorisée, comme l'affliction du yo-yo dont parle Prose sur son blog yagg ? La question est ouverte
Personnellement, c'est quelque chose que j'ai pu observer assez régulièrement, de façon plus ou moins prononcée selon les moments. Même au plus fort d'un de ces "pics", je suis toujours manifestement attiré par les deux sexes (impossible de me leurrer là-dessus, il me suffit de regarder les gens autour de moi dans la rue), mais il y a des "périodes" (jours, semaines) où j'ai des "vagues" plutôt hétéro ou plutôt homo, comme si ma "tendance érotique" du moment se portait tantôt sur un sexe, tantôt sur l'autre. Mais cette espèce de mouvement de balancier dans la prédominance d'un désir sur l'autre n'a rien de systématique : il y a aussi des périodes (de plus en plus longues dans mon cas, à ce qu'il me semble) où je suis aussi fortement attiré par les deux.
Avez-vous déjà ressenti quelque chose de ce genre ? Quelque chose qui ressemble à ce que je décris là, ou alors en plus fort, ou en moins prononcé ? Et à quoi ces oscillations peuvent-elles être dues ? Mécanismes physiologiques ? Mécanismes psychologiques ? Biphobie intériorisée, comme l'affliction du yo-yo dont parle Prose sur son blog yagg ? La question est ouverte
Mon beau-frère Silvius tient le Biplan, un blog sur la bisexualité (actualités, militantisme, réflexions de fond). Passez donc voir, si le coeur vous en dit :
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Re: Bisexualité, "périodes" et fluctuations d'attirances
Je connais tout à fait ce dont tu parles. Je dis je suis en période filles. Mais ce que j'ai remarqué, c'est que je peux être en période fille et quasiment ne plus regarder les garçons alors que je ne suis jamais en période uniquement garçons. Mais quand je me sens vraiment bien, c'est quand j'ai une période bi ou je sens vraiment l'attirance équilibrée. Et là c'est le bonheur.
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Re: Bisexualité, "périodes" et fluctuations d'attirances
Personnellement, je pense aussi avoir des périodes... des périodes où je me sens particulièrement attirés par certains traits physiques, ou styles, genre les petits ou les blonds et puis plus tard, les blacks, les asiats et puis plus tard les grands costaux...
La différence, j'ai l'impression, est que je n'en souffre pas le moins du monde parce que ces périodes ne viennent pas me remettre en question constamment.
On rabache tellement que les bis sont des homos qui l'assument pas completement que ces périodes peuvent mettre un doute dans vos têtes du genre :
" Et si finalement, j'avais peur d'etre pleinement homo?"
Alors qu'en fait, vous êtes bis
A mon avis, les oscillations sont naturelles (mais pas obligatoires), les doutes viennent eux seuls de la théorie du yoyo.
La différence, j'ai l'impression, est que je n'en souffre pas le moins du monde parce que ces périodes ne viennent pas me remettre en question constamment.
On rabache tellement que les bis sont des homos qui l'assument pas completement que ces périodes peuvent mettre un doute dans vos têtes du genre :
" Et si finalement, j'avais peur d'etre pleinement homo?"
Alors qu'en fait, vous êtes bis
A mon avis, les oscillations sont naturelles (mais pas obligatoires), les doutes viennent eux seuls de la théorie du yoyo.
Contacte moi en mp si t'es intéressé(e) pour vivre une amitié sexuelle avec moi !!
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Re: Bisexualité, "périodes" et fluctuations d'attirances
Plus un avec Ascagne. Je fonctionne comme ça aussi. Je ne suis jamais exclusivement hétéro ou homo mais je vis des périodes d'attirances plus spécifiques envers les mecs ou les filles. Ça dépend mais je ne sais pas de quoi !
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Re: Bisexualité, "périodes" et fluctuations d'attirances
Des gens qu'on rencontre !oliv4u a écrit :je ne sais pas de quoi !
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Re: Bisexualité, "périodes" et fluctuations d'attirances
Alors là tout pareil!gaby a écrit :Mais ce que j'ai remarqué, c'est que je peux être en période fille et quasiment ne plus regarder les garçons alors que je ne suis jamais en période uniquement garçons. Mais quand je me sens vraiment bien, c'est quand j'ai une période bi ou je sens vraiment l'attirance équilibrée. Et là c'est le bonheur.
Sauf que l'équilibre dont tu parles je l'ai plus rarement!
Par exemple, en ce moment, ça me fait bizare de trouver les mecs attirants et les filles moins ( en même temps, pour l'instant je me fais aguicher que par des jeunettes de 15 ans qui trouve juste mon style "trop classsssse"... )
Et tu vois pourtant je sais que je peux avoir des "plans" plus ou moins sérieux... Mais je penses avoir peur ( vu que je suis en couple hétéro) de retomber dans une de ces fluctuations "fille" qui me perturbe autant au niveau de mon couple, que dan sma tête!
Car oui c'est là que tu te demandes si "t'es pas lesbienne"?!
Bon après une fois que je retrouves mon chèr et tendre là je me dis "rooooh non je peux pas m'en passer...!!"
Et les doutes pour moi viennent aussi des sentiments que j'ai pour l'autre personne... Ou que je pourrai avoir dans mes périodes filles. Quand je ressents qu'elle peut me faire chavirer le corps et le coeur.Dingdong a écrit : A mon avis, les oscillations sont naturelles (mais pas obligatoires), les doutes viennent eux seuls de la théorie du yoyo.
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Re: Bisexualité, "périodes" et fluctuations d'attirances
Pareil, sauf que j'ai un doute quand à être vraiment bi, vu le temps depuis lequel je suis en période filles ^^
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Re: Bisexualité, "périodes" et fluctuations d'attirances
Comme toi Ascagne, des alternances; mais je dirais comme Dudu, ça peut dépendre des gens qu'on rencontre...
L'attirance pour les deux est permanente, mais quand je suis longtemps avec quelqu'un, même si je me sens épanoui et satisfait, je continue quand même à regarder les deux sexes, sans sentir vraiment de besoin, c'est plus une satisfaction esthétique générale.
Le problème se pose totu de même quand je suis depuis très longtemps avec quelqu'un j'ai l'impression...au bout d'un moment, même si je me sens toujours aussi bien avec la personne, je ressens un manque de l'autre sexe.
Je pense que c'est surtout un problème psychologique, et qui dépend des circonstances de la vie en général : je ressens une attirance forte de ce qui me manque, et si par hasard je ne vais pas bien, j'ai la sensation d'être incomplet, de ne vivre qu'à moitié, même si une moitié est parfaitement satisfaite, c'est comme si je boîtais. Dans ces périodes là, ça peut devenir grave et me déprimer beaucoup...je me sens déséquilibré.
C'est dur de savoir vraiment ce qui déclenche...
-Il y a une question de temps (trop longtemps que j'ai pas ressenti physiquement un gars/une fille)
-Il y a une question de "forme psychologique" (période de stress au boulot ou autre, anxiété...) : si je suis plus "fragile" en général, l'insatisfaction générale me fait comme "remonter" une sensation de manque de ce que je n'ai pas.
-Il y a bien sûr l'éventualité que je ne me sente plus aussi satisfait avec la personne avec qui je suis (comme n'importe quel couple!), mais le partenaire suivant si jamais on se sépare dépendra surtout de qui je rencontre je crois, là c'est pas parce que j'ai quitté un gars que je vais sauter automatiquement sur une fille.
-Il y a évidemment le hasard des rencontres (je suis tombé amoureux d'un gars, alors que je suis tjrs aussi bien avec ma femme, et de plus en plus amoureux d'elle)
Enfin, il y a je crois une certaine forme de recherche de l'idéal, qui dérive d'une sensation permanente de manque et d'échec, qui remonte à l'adolescence: je suis globalement plus facilement attiré par les gars, simplement parce que ce sont mes histoires avec les garçons qui ont toujours été les plus complexes, et les moins abouties (je n'ai jamais réussi à construire quelque chose avec les gars qui m'ont vraiment attiré, ou pour le dire autrement, j'ai été sincèrement et passionnellement amoureux plusieurs fois de gars avec qui rien n'a pu se passer, alors qu'avec mes filles mes histoires d'amour ont toutes réussi.)
En ce moment, je suis avec ma femme depuis 15 ans (et avec elle c'est merveilleux) mais ça fait 3-4 ans que je suis dans une "période garçon", au pus fort de ma dépression l'an dernier, ça donnait de véritables crises de manque qui se manifestaient même physiquement, et je suis depuis 1 an et demi amoureux d'un ami qui refuse d'aller plus loin parce qu'il est hétéro : autant dire que c'est une période "c'est la merde"!!!
Bon, ben en fait, je ne sais pas si j'ai vraiment répondu à la question, en refaisant mon analyse! Désolé Ascagne, tu as du remarquer que je ne sais pas faire court! Mais bon, c'est mon expérience...
Aller, je vous ai assez gonflé comme ça, je
bise à tous
L'attirance pour les deux est permanente, mais quand je suis longtemps avec quelqu'un, même si je me sens épanoui et satisfait, je continue quand même à regarder les deux sexes, sans sentir vraiment de besoin, c'est plus une satisfaction esthétique générale.
Le problème se pose totu de même quand je suis depuis très longtemps avec quelqu'un j'ai l'impression...au bout d'un moment, même si je me sens toujours aussi bien avec la personne, je ressens un manque de l'autre sexe.
Je pense que c'est surtout un problème psychologique, et qui dépend des circonstances de la vie en général : je ressens une attirance forte de ce qui me manque, et si par hasard je ne vais pas bien, j'ai la sensation d'être incomplet, de ne vivre qu'à moitié, même si une moitié est parfaitement satisfaite, c'est comme si je boîtais. Dans ces périodes là, ça peut devenir grave et me déprimer beaucoup...je me sens déséquilibré.
C'est dur de savoir vraiment ce qui déclenche...
-Il y a une question de temps (trop longtemps que j'ai pas ressenti physiquement un gars/une fille)
-Il y a une question de "forme psychologique" (période de stress au boulot ou autre, anxiété...) : si je suis plus "fragile" en général, l'insatisfaction générale me fait comme "remonter" une sensation de manque de ce que je n'ai pas.
-Il y a bien sûr l'éventualité que je ne me sente plus aussi satisfait avec la personne avec qui je suis (comme n'importe quel couple!), mais le partenaire suivant si jamais on se sépare dépendra surtout de qui je rencontre je crois, là c'est pas parce que j'ai quitté un gars que je vais sauter automatiquement sur une fille.
-Il y a évidemment le hasard des rencontres (je suis tombé amoureux d'un gars, alors que je suis tjrs aussi bien avec ma femme, et de plus en plus amoureux d'elle)
Enfin, il y a je crois une certaine forme de recherche de l'idéal, qui dérive d'une sensation permanente de manque et d'échec, qui remonte à l'adolescence: je suis globalement plus facilement attiré par les gars, simplement parce que ce sont mes histoires avec les garçons qui ont toujours été les plus complexes, et les moins abouties (je n'ai jamais réussi à construire quelque chose avec les gars qui m'ont vraiment attiré, ou pour le dire autrement, j'ai été sincèrement et passionnellement amoureux plusieurs fois de gars avec qui rien n'a pu se passer, alors qu'avec mes filles mes histoires d'amour ont toutes réussi.)
En ce moment, je suis avec ma femme depuis 15 ans (et avec elle c'est merveilleux) mais ça fait 3-4 ans que je suis dans une "période garçon", au pus fort de ma dépression l'an dernier, ça donnait de véritables crises de manque qui se manifestaient même physiquement, et je suis depuis 1 an et demi amoureux d'un ami qui refuse d'aller plus loin parce qu'il est hétéro : autant dire que c'est une période "c'est la merde"!!!
Bon, ben en fait, je ne sais pas si j'ai vraiment répondu à la question, en refaisant mon analyse! Désolé Ascagne, tu as du remarquer que je ne sais pas faire court! Mais bon, c'est mon expérience...
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Re: Bisexualité, "périodes" et fluctuations d'attirances
Si je te reprochais ça, ce serait l'hôpital se moquant de la charité et tu me parais tout à fait dans le sujet, chacun répond selon son vécuSCANNO a écrit :Bon, ben en fait, je ne sais pas si j'ai vraiment répondu à la question, en refaisant mon analyse! Désolé Ascagne, tu as du remarquer que je ne sais pas faire court! Mais bon, c'est mon expérience...
Ces réponses me rassurent un peu sur ces "fluctuations", c'est tout de même assez étrange à ressentir parfois...
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Re: Bisexualité, "périodes" et fluctuations d'attirances
Pour ma part, ça ne fait pas si longtemps que je me sais bisexuelle (1 an et demi environ), mais rétrospectivement, je crois qu'il y a des fluctuations. Raison pour laquelle je me suis successivement cru hétéro, puis lesbienne, puis hétéro. Je ne "croyais pas" à la bisexualité.
J'ai l'impression qu'il peut y avoir des périodes où je me sens presque exclusivement attirée par un sexe, mais je saurai toujours qu'il existe la possibilité d'attirance vers l'autre sexe.
Je suis assez d'accord avec Düdü pour dire que ces périodes dépendent en grande partie des gens qu'on rencontre, mais pas que. D'ailleurs, Scanno a développé quelques facteurs influençant pour lui. Pour ma part, je suis plutôt en période "femmes" et je pense que c'est aussi lié à un certain effet de nouveauté; j'ai envie/besoin de découvrir cette part de moi que je n'avais pas laissée s'exprimer jusqu'à présent.
J'ai l'impression qu'il peut y avoir des périodes où je me sens presque exclusivement attirée par un sexe, mais je saurai toujours qu'il existe la possibilité d'attirance vers l'autre sexe.
Je suis assez d'accord avec Düdü pour dire que ces périodes dépendent en grande partie des gens qu'on rencontre, mais pas que. D'ailleurs, Scanno a développé quelques facteurs influençant pour lui. Pour ma part, je suis plutôt en période "femmes" et je pense que c'est aussi lié à un certain effet de nouveauté; j'ai envie/besoin de découvrir cette part de moi que je n'avais pas laissée s'exprimer jusqu'à présent.
Envie de dire, envie d'écrire, envie d'être...
Feuille blanche, permets-moi de renaître.
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Re: Bisexualité, "périodes" et fluctuations d'attirances
Moi aussi, j'ai eu beaucoup de fluctuations dans mon orientation. J'ai cru que j'étais hétéro, bi, gay, bi, gay, hétéro longtemps ensuite, bi... Mais, bon, ça change de moins en moins, mais j'ai encore des passes. C'est un peu énervant, des fois je crois que j'avais eu tort sur mon orientation...
Est-ce qu'on nous prend pour des idiots lorsqu'on appelle ça du progrès?
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Re: Bisexualité, "périodes" et fluctuations d'attirances
Idem pour moi, j'ai mes passes comme je dis si bien.
Par moment je voudrais les 2, par moment j'ai besoin de 2 mecs, d'autres 2 filles et ainsi de suite.
Ou par moment absolument rien.
C'est zarbi mais c'est comme ca!
Par moment je voudrais les 2, par moment j'ai besoin de 2 mecs, d'autres 2 filles et ainsi de suite.
Ou par moment absolument rien.
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Re: Bisexualité, "périodes" et fluctuations d'attirances
le plus dur en général c'est dans les vestiaires après le sport. Dans les douches, à poil .... toujours tenté de mater, mais pas de trop quand même de peur de se faire passer pour homo.
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Re: Bisexualité, "périodes" et fluctuations d'attirances
Il y a un sujet consacré à ce thème-là, si ça t'intéresse.Dolph Inger a écrit :le plus dur en général c'est dans les vestiaires après le sport. Dans les douches, à poil .... toujours tenté de mater, mais pas de trop quand même de peur de se faire passer pour homo.
Et peut-être [url=tp://www.bisexualite.info/forum/viewtopic.php?f=7&t=4884]celui-là[/url] aussi.
Je déplace le message ou pas ? Hum... Me prévenir par MP si nécessaire.
"N’oublions jamais que le droit au rêve ne prend toute sa valeur qu’accompagné du droit à la lucidité." - Georges Charpak
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Re: Bisexualité, "périodes" et fluctuations d'attirances
ah oui en effet, mais la n'était pas la question, je répondais juste à celle de ce topic
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