matt21
Posté : 03 mar 2017 00:07
Bonsoir,
Je suis bien heureux de vous trouver. Je ne vais pas vous mentir, je cherche des solutions. J'espère pouvoir en apporter moi aussi à certains d'entre vous mais mon point de départ, c'est quand même moi, pardon.
J'ai la petite quarantaine, marié, père, heureux. Je n'ai jamais connu que ma femme que j'aime intensément et je pense, pour la vie. J'ai eu beaucoup de flirts avec des femmes mais très peu avec qui j'ai été plus loin car je voulais me réserver à une seule. Vous l'aurez compris, je suis pas du genre infidèle.
Peut-être parce que ça a toujours été facile avec les filles, je plais.
À quinze ans, lors d'une de mes nombreuses séances de natation (compétition) j'ai été allumé par un homme d'une trentaine d'années sous les douches. Assez innocemment, puisque au départ il se frottait le sexe, sorti, juste à coté de moi, j'ai insisté sur le mien, craignant de passer pour un crado devant cet homme particulièrement soucieux du sien.
Ensuite tout a été très vite, il y avait beaucoup de monde, il a arrêté son manège et est parti vers des vestiaires déserts, en se retournant vers moi. Il faut savoir qu'à cette époque je sortais avec beaucoup de filles et j'aimais ça. Mais j'ai été attiré comme un aimant par cet homme même pas beau mais très bien membré. Je l'ai rejoint à la dernière cabine qu'il avait laissé ouverte a mon attention.
J'ai attendu au moins 5 ans avant de repenser à cette histoire sans paniquer. Je l'ai même raconté à ma femme, bien plus tard.
Dans la cabine, l'homme avait son sexe sorti du slip. Une demi molle vraiment épaisse. Je l'ai touché, il n'a pas bandé, j'étais trop paniqué. Ensuite j'ai cherché ses fesses et il s'est laissé faire mais c'était trop pour moi je me suis arrêté. Il m'a alors murmuré de rester, j'ai dit non et je suis parti.
Je me suis habillé en vitesse et suis rentré chez moi presque en pleurant, le cœur douloureux tellement je me sentais mal.
Depuis cet épisode j'ai continué ma vie d'hétéro épanoui. Je suis sorti avec beaucoup d'autres filles jusqu’à ce que je rencontre ma femme.
Ensemble, sexualité pépère, qui me désespère parfois, mais l'amour est là, et je ne ressens pas de frustration. J'aimerais seulement avoir une sexualité plus débridée, par l'usage de gode par ex mais madame est très chaste même si l'idée a été évoquée par le passé.
Très fidèle, je me suis fixé comme objectif de m'accorder tous les fantasmes en solo et de ne jamais la tromper. Pari tenu.
Noire, asiatique, milf.... tout y est passé. Et puis j'ai assumé mes fantasmes gay et commencé à en jouir aussi. Selon les périodes, j'occulte ces fantasmes homo ou j'en deviens obsédé.
Mon travail me laissant une grande liberté de mouvement, j'ai tenté quelques expériences, poussé par un désir irrépressible de passer à l'acte avec un homme.
1er constat : ma prostate est mon poing G. Suite à l'achat de godes (18 x4 et 22 x 5), j'ai réalisé qu'était là une zone particulièrement érogène.
Évoluant seul sur le sujet, j'ai fini par me dire que j'étais un hétéro passé par toutes les stimulations en solo et que l'homosexualité avait fini par arriver. Ajouté à des expériences tout simplement extraordinaires de la pénétration anale, j'en suis arrivé à la constatation suivante : gode ceinture avec madame et tout rentrera dans l'ordre. Sauf que :
1/ Fantasme jamais réalisé, madame est trop fermée pour en parler (je lui ai explicitement dit pourtant et ce n'est pas chose facile). Nous n'avons jamais reparlé de mon expérience à la piscine ado. Elle sait seulement que j'ai aimé toucher ce sexe d'homme.
2/ Je me masturbe régulièrement sur des hommes. J'ai appris à surmonter toutes mes barrières mentales et aujourd'hui je jouis aisément de m'imaginer soumis à un autre homme, même pas jeune et beau du moment qu'il est bien membré. C'est dire mon niveau d'exigence...
3/ J'aime les femmes passionnément. Un sourire, un soupçon de sein me fait triquer très vite.
4/ J'ai "tenté" avec d'autres hommes et mes expériences ne sont pas concluantes. J'ai d'abord été assez ouvert avec des homos affirmés mais rien n'a été tenté de leur côté, je crois être trop hétéro dans mon attitude, mon assurance, pour donner sa chance à un prétendant. Donc rien par la nuance. J'ai été plus direct en fréquentant des piscines réputées gay. Là j'ai fait de nouvelles découvertes sur moi-même, qui me perturbent encore plus.
D'abord, entouré d'autres hommes gays, sous les douches, je ne suis pas excité. je ne bande pas, mais alors pas du tout. Les hommes, quand ils ne sont pas dans ma tête une main sur mon sexe, ne me font aucun effet.
Ensuite, j'ai été tellement déçu de cette première tentative au milieu d'hommes consentants, que j'ai fait tomber le maillot et doucher nu. Si l'érection n'est toujours pas venue, j'ai ressenti un vif plaisir à m'exposer ainsi devant d'autres hommes passablement excités. J'ai adoré exhiber mes fesses bien rondes et mon sexe, tout mou.
Un penchant exhib ? Pourquoi pas. Les femmes me font toujours autant d'effet, le jeu de la séduction me plait toujours autant mais je suis mentalement verrouillé à l’adultère donc, il ne se passe rien.
En ce moment, je suis dans ma période obsessionnelle gay, je ne masturbe pas (j'essaie d’arrêter de me masturber tout court) mais j'y pense du matin au soir, visionne non stop des vidéos gays, arrive à jouir mentalement de la vue d'un organe, d'un fessier...
Et dehors, dans la rue, dans les bois et les piscines fréquentées par des gays : rien.
Je ne sais pas quoi faire, le stade du fantasme me parait un plafond de verre mais je ne sais pas laquelle de ces deux raisons est la plus juste :
- je suis trop fidèle et amoureux pour aller voir ailleurs ;
- je ne suis tout simplement pas gay, seulement imaginatif dans mes fantasmes.
Je suis à un age ou garder un corps ferme, désirable, est une somme d'efforts. Je sais que les années vont passer et que mon corps si désirable va le devenir beaucoup moins. Je ne veux pas passer le cap d'une aventure homosexuelle en étant vieux, demandeur.
J'aimerais avoir une aventure avec un homme, un homme respectueux et surtout discret. Mais j'ai la certitude que le simple premier regard me dégoutera, que la distance entre le fantasme et la réalité est d'un million de km, qu'elle n'a pas à être franchie. Comme avec les femmes, que je désire au quotidien sans jamais faillir.
Je sais qu'il existe des endroits ou avoir un rapport homosexuel est simple et rapide. Je sais qu'un sexe un peu sorti d'un maillot sous l'eau, un torse bien dessiné ou des fesses galbées m'aimantent mais un regard, un seul me dégoute.
J'ai peur de devoir un jour franchir ces lieux ou le sexe se consomme, bestial, des glory holes et autres saunas. J'ai pas envie. Pas envie que ça se passe comme ça. Alors je souffre, pas énormément, mais assez pour vous raconter cela parce que ma plus grande crainte, c'est de ne jamais concilier désirs et fidélité.
Si vous avez des réponses, help
Je suis bien heureux de vous trouver. Je ne vais pas vous mentir, je cherche des solutions. J'espère pouvoir en apporter moi aussi à certains d'entre vous mais mon point de départ, c'est quand même moi, pardon.
J'ai la petite quarantaine, marié, père, heureux. Je n'ai jamais connu que ma femme que j'aime intensément et je pense, pour la vie. J'ai eu beaucoup de flirts avec des femmes mais très peu avec qui j'ai été plus loin car je voulais me réserver à une seule. Vous l'aurez compris, je suis pas du genre infidèle.
Peut-être parce que ça a toujours été facile avec les filles, je plais.
À quinze ans, lors d'une de mes nombreuses séances de natation (compétition) j'ai été allumé par un homme d'une trentaine d'années sous les douches. Assez innocemment, puisque au départ il se frottait le sexe, sorti, juste à coté de moi, j'ai insisté sur le mien, craignant de passer pour un crado devant cet homme particulièrement soucieux du sien.
Ensuite tout a été très vite, il y avait beaucoup de monde, il a arrêté son manège et est parti vers des vestiaires déserts, en se retournant vers moi. Il faut savoir qu'à cette époque je sortais avec beaucoup de filles et j'aimais ça. Mais j'ai été attiré comme un aimant par cet homme même pas beau mais très bien membré. Je l'ai rejoint à la dernière cabine qu'il avait laissé ouverte a mon attention.
J'ai attendu au moins 5 ans avant de repenser à cette histoire sans paniquer. Je l'ai même raconté à ma femme, bien plus tard.
Dans la cabine, l'homme avait son sexe sorti du slip. Une demi molle vraiment épaisse. Je l'ai touché, il n'a pas bandé, j'étais trop paniqué. Ensuite j'ai cherché ses fesses et il s'est laissé faire mais c'était trop pour moi je me suis arrêté. Il m'a alors murmuré de rester, j'ai dit non et je suis parti.
Je me suis habillé en vitesse et suis rentré chez moi presque en pleurant, le cœur douloureux tellement je me sentais mal.
Depuis cet épisode j'ai continué ma vie d'hétéro épanoui. Je suis sorti avec beaucoup d'autres filles jusqu’à ce que je rencontre ma femme.
Ensemble, sexualité pépère, qui me désespère parfois, mais l'amour est là, et je ne ressens pas de frustration. J'aimerais seulement avoir une sexualité plus débridée, par l'usage de gode par ex mais madame est très chaste même si l'idée a été évoquée par le passé.
Très fidèle, je me suis fixé comme objectif de m'accorder tous les fantasmes en solo et de ne jamais la tromper. Pari tenu.
Noire, asiatique, milf.... tout y est passé. Et puis j'ai assumé mes fantasmes gay et commencé à en jouir aussi. Selon les périodes, j'occulte ces fantasmes homo ou j'en deviens obsédé.
Mon travail me laissant une grande liberté de mouvement, j'ai tenté quelques expériences, poussé par un désir irrépressible de passer à l'acte avec un homme.
1er constat : ma prostate est mon poing G. Suite à l'achat de godes (18 x4 et 22 x 5), j'ai réalisé qu'était là une zone particulièrement érogène.
Évoluant seul sur le sujet, j'ai fini par me dire que j'étais un hétéro passé par toutes les stimulations en solo et que l'homosexualité avait fini par arriver. Ajouté à des expériences tout simplement extraordinaires de la pénétration anale, j'en suis arrivé à la constatation suivante : gode ceinture avec madame et tout rentrera dans l'ordre. Sauf que :
1/ Fantasme jamais réalisé, madame est trop fermée pour en parler (je lui ai explicitement dit pourtant et ce n'est pas chose facile). Nous n'avons jamais reparlé de mon expérience à la piscine ado. Elle sait seulement que j'ai aimé toucher ce sexe d'homme.
2/ Je me masturbe régulièrement sur des hommes. J'ai appris à surmonter toutes mes barrières mentales et aujourd'hui je jouis aisément de m'imaginer soumis à un autre homme, même pas jeune et beau du moment qu'il est bien membré. C'est dire mon niveau d'exigence...
3/ J'aime les femmes passionnément. Un sourire, un soupçon de sein me fait triquer très vite.
4/ J'ai "tenté" avec d'autres hommes et mes expériences ne sont pas concluantes. J'ai d'abord été assez ouvert avec des homos affirmés mais rien n'a été tenté de leur côté, je crois être trop hétéro dans mon attitude, mon assurance, pour donner sa chance à un prétendant. Donc rien par la nuance. J'ai été plus direct en fréquentant des piscines réputées gay. Là j'ai fait de nouvelles découvertes sur moi-même, qui me perturbent encore plus.
D'abord, entouré d'autres hommes gays, sous les douches, je ne suis pas excité. je ne bande pas, mais alors pas du tout. Les hommes, quand ils ne sont pas dans ma tête une main sur mon sexe, ne me font aucun effet.
Ensuite, j'ai été tellement déçu de cette première tentative au milieu d'hommes consentants, que j'ai fait tomber le maillot et doucher nu. Si l'érection n'est toujours pas venue, j'ai ressenti un vif plaisir à m'exposer ainsi devant d'autres hommes passablement excités. J'ai adoré exhiber mes fesses bien rondes et mon sexe, tout mou.
Un penchant exhib ? Pourquoi pas. Les femmes me font toujours autant d'effet, le jeu de la séduction me plait toujours autant mais je suis mentalement verrouillé à l’adultère donc, il ne se passe rien.
En ce moment, je suis dans ma période obsessionnelle gay, je ne masturbe pas (j'essaie d’arrêter de me masturber tout court) mais j'y pense du matin au soir, visionne non stop des vidéos gays, arrive à jouir mentalement de la vue d'un organe, d'un fessier...
Et dehors, dans la rue, dans les bois et les piscines fréquentées par des gays : rien.
Je ne sais pas quoi faire, le stade du fantasme me parait un plafond de verre mais je ne sais pas laquelle de ces deux raisons est la plus juste :
- je suis trop fidèle et amoureux pour aller voir ailleurs ;
- je ne suis tout simplement pas gay, seulement imaginatif dans mes fantasmes.
Je suis à un age ou garder un corps ferme, désirable, est une somme d'efforts. Je sais que les années vont passer et que mon corps si désirable va le devenir beaucoup moins. Je ne veux pas passer le cap d'une aventure homosexuelle en étant vieux, demandeur.
J'aimerais avoir une aventure avec un homme, un homme respectueux et surtout discret. Mais j'ai la certitude que le simple premier regard me dégoutera, que la distance entre le fantasme et la réalité est d'un million de km, qu'elle n'a pas à être franchie. Comme avec les femmes, que je désire au quotidien sans jamais faillir.
Je sais qu'il existe des endroits ou avoir un rapport homosexuel est simple et rapide. Je sais qu'un sexe un peu sorti d'un maillot sous l'eau, un torse bien dessiné ou des fesses galbées m'aimantent mais un regard, un seul me dégoute.
J'ai peur de devoir un jour franchir ces lieux ou le sexe se consomme, bestial, des glory holes et autres saunas. J'ai pas envie. Pas envie que ça se passe comme ça. Alors je souffre, pas énormément, mais assez pour vous raconter cela parce que ma plus grande crainte, c'est de ne jamais concilier désirs et fidélité.
Si vous avez des réponses, help