et le gode ceinture ???

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Billythekid32
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Re: et le gode ceinture ???

Message par Billythekid32 » il y a 1 an

Moi honnêtement j'ai vécu beaucoup d'expérience sexuelle je suis depuis dix ans déjà avec ma femme et nous sommes un couple uni et qui communique beaucoup et avons confiance un a l'autre nous avons un esprit d'ouverture très fluide j'ai demandé à ma femme qu'elle serait son fantasme et moi de même je ne connaissais pas la découverte du point pv et alors l'idée d'acheter un strapon et de tenter l'expérience nous apportait beaucoup de plaisir et d'excitation et voilà pt un petit peu plus que deux ans nous avons essayé l'expérience c'est fou a quelle point c'était une expérience incroyable autant par elle que par moi frenchemnt parlant communiquer la confiance le respect l'écoute de l'autre et de soi est de mise et tenter pkoi rester avec des envies refoulé pour notre part voilà maintenant nous voulons le tenter mais en vrai autant pour madame que pour moi et vivre pleinement notre sexualité j'espère que sa vous a plu

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Bixy
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Re: et le gode ceinture ???

Message par Bixy » il y a 1 an

 ! Message de : Biscuit
Merci de soigner un peu plus ton orthographe et surtout d'utiliser de la ponctuation.
Bixy

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luq3971
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Re: et le gode ceinture ???

Message par luq3971 » il y a 1 an

"
Vu qu'une femme qui utilise un sexe en plastique ne ressent pas, dans sa chair, l'effet qu'elle produit le plaisir est forcément ailleurs ( même s'il semble que le frottement provoque de forts émois ). " je ne partage pas cet avis. On peut très bien prendre u du plaisir en en donnant sans avoir obligatoirement un plaisir physique soi-même. j'ai une amie multi orgasmique et qui part au 1/4 de tour. Je prends un plaisir immense et intense à la faire jouir avec mes mains, mes doigts. La pénétration qui intervient généralement au bout d'une heure, une heure et demi est une fin mais pas un objectif. A la limite, entre passer 1h30 à la faire jouir et 10 mn à la pénétrer mon choix est fait. On dit que le plus gros organe sexuel est le cerveau ? je pense qu'il y a du vrai mais pour moi, le deuxième c'est la main !
la bisexualité c'est multiplier par deux la chance d'avoir un rendez vous samedi prochain (Woody Allen)

Bonsoirbonsoir
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Re: et le gode ceinture ???

Message par Bonsoirbonsoir » il y a 1 an

Bonjour Luq,

Je suis bien d’accord avec toi à propos de la pénétration , mais tu cites une phrase que j’ai écrite pour lui faire signifier quelque chose qu’elle ne dit pas.

Le post parlait, à l’origine, d’une « crainte » d’être attiré par quelqu’un qui ressentirait la pénétration à la différence de quelqu’une qui ne l’a ressentirait pas par l’utilisation d’un objet.

Mais ça n’implique pas que la pénétration soit l’alpha et l’omega Des pratiques amoureuses ou sexuelles.
Parmi les pratiques il y a la pénétration et/ ou la circlusion et c’est de cela qu’on parlait.
Bien sûr l’organe principal sexuel est le cerveau.

Bonsoirbonsoir
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Re: et le gode ceinture ???

Message par Bonsoirbonsoir » il y a 1 an

Et bien sûr on peut ressentir un plaisir, parfois intense, par toutes sortes de manières. Avec ses doigts, ses mains et tout ce qu’on voudra, mais ce que j’ai écrit justement décrivait le plaisir de la femme qui utilise un gode ceinture comme moins « charnel » et plus « cérébral » ( exceptés les frottements) parce que l’objet est extérieur, étranger à son corps et ne transmet , a priori, pas d’information à son cerveau. Pour ça il faut qu’elle utilise d’autres sources, d’autres sens que le toucher. Sa comperssion passe par d’autres canaux.

mattvingtetun
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Re: et le gode ceinture ???

Message par mattvingtetun » il y a 1 an

bonjour,

je reviens après de longs mois d'absence car j'avais perdu mes identifiants... je remercie chaleureusement les participants de ce sujet qui ont répondu avec une sincérité et une générosité qui me touchent. J'aime l'intitulé de ce sous forum "votre cas personnel" car il plonge d'emblée dans une sphère intime où les qualités mentionnées plus haut font vraiment du bien.
C'est donc en essayant de répondre avec les mêmes intentions que j'interviens ici.
Ces derniers mois ont été durs.
Entre courtes euphories et longues déprimes, sur le plan personnel principalement. C'est pour cela que ce sujet de prime abord trivial soulève des sentiments bien plus profonds que la quête de l'orgasme. C'est le bon côté des fantasmes je crois que de sublimer une situation et de vivre à 100km/h cette attente. Mais avec les vicissitudes de la vie de couple, la question du GC est devenue pour moi un moment de bascule, une épreuve à laquelle mon couple devrait sa survie. Et c'est bien en cela que le chevillage est merveilleux, lorsque la femme dépasse ses frontières psychologiques par amour.
Il y a quelques jours, j'étais furieux comme ma femme. Furieux de son manque d'implication, d'efforts pour nous, pour moi. Je ne m'étalerai pas plus la dessus, il faut seulement comprendre que cette carence dépasse largement le cadre sexuel en dépit d'un amour inébranlable. J'étais si remonté que lorsque l'on a fait l'amour ce matin la, au moment qui précède l'orgasme pour nous deux, j'ai vidé mon sac. J'ai tout susurré, mes lèvres contre son oreille, sans affect, froidement, j'ai demandé pourquoi "on ne le faisait pas". Loin de la refroidir, la chose l'a excitée et elle m'a répondu le plus naturellement du monde que si c'est ce que je veux alors on le fait. Je lui a donné rendez vous pour le soir. Nous avons joui et n'y sommes pas revenus de toute la journée.
Même si je conservais ma distance, entretenue depuis une semaine déjà, j'ai noté qu'elle était plus câline ce jour là. Passablement énervé, je n'ai pas goûté au plaisir d'avoir enfin dit ce que je retenais depuis des années, des décennies même car le désir m'est venu très tôt dans notre relation.
Étrangement, cet épisode m'a laissé de marbre et le soir, très tard, quand je m’apprêtais à poursuivre notre soirée ciné au lit, elle m'a demandé si on avait pas un autre programme de prévu... Toujours aussi froid, j'ai éteint la TV et annoncé : il faut qu'on parle. Après un intermède domestique et logistique (verrouillage de la porte de notre chambre, sortie de "l'engin" de son étui) j'ai, dans le noir, godemichet dans les mains, expliqué pourquoi et comment s'en servir. Elle a bien écouté, s'est montrée catégorique avec le jouet qu'elle m'a bien dit ne pas vouloir utilisé sur elle. J'ai acheté ce gode sans ceinture pour couple en taille S (18x 3,5 je crois) : "https://strap-on-me.com/products/strap- ... rs-fuchsia". Sans moteur ni essaie glace : restons simples. En effet, je ne me voyais pas aborder la chose avec ces machines que l'on voit sur les vidéos porno et qui me font tant fantasmer : je veux qu'elle y prenne du plaisir, en fait je crois que c'est mon désir ultime. C'est donc un jouet aux deux extremités insérables, pour monsieur et madame. L'objet en lui même est assez sexy. Mais pas pour elle ou alors elle l'a bien caché. Je lui ai montrée les trois positions possibles à ma connaissance, en éludant la levrette où le rapport de soumission est le plus ambigu. J'ai pris soin de lui expliquer que je n'étais pas du tout attiré par un rapport SM, que c'était pour un moi un moment magique où elle avait la possibilité de me rendre immensément heureux. Elle a conclu en disant que me faire plaisir la motivait et a voulu de suite essayer une position (je ne me rappelle plus laquelle tant j'étais bouleversé de la situation). Trop secoué pour le faire, j'ai repoussé et décidé de poursuivre notre film. J'ai dit que peut etre ce fantasme n'en était finalement qu'un, que nous commencerions par ses doigts, mais plus adroitement qu'avant... Pour ceux qui s'émoustillaient de mon récit, désolé : je n'étais pas du tout disposé. Le lendemain matin, nous avons fait l'amour et elle m'a demandé le lubrifiant pour ses doigts. Je n'avais pas du tout envie. On a parlé pendant l'acte et j'ai essentiellement loué son corps tandis qu'elle détaillait comme elle s'y prendrait pour me faire jouir la prochaine fois... voilà, ce matin elle est partie pour quelques jours en déplacement professionnel et je sais qu'elle attend "de le faire". Depuis mon aveu, elle est plus tactile avec moi, je la sens (enfin !) plus amoureuse dans les gestes du quotidien. J'en déduis que m'être confié à elle, même d'une manière détachée et autoritaire, a libéré quelque chose chez elle, et je ne crois pas me tromper en disant que mon fantasme l'émoustille. Maintenant je suis plus distant que jamais, vous devez me trouver bien débile mais c'est ce que je ressens : tellement de stress et de frustration ces derniers jours que je n'arrive toujours pas à apprécier l'Everest enfin gravi.
Une partie de moi se dit que l'aveu est trop énorme, qu'il me faut du temps pour me détendre, à tout point de vue, pour enfin jouir pleinement de cette chance que ma femme me donne. *
Une autre minore le plan sexuel pour mettre toujours plus en relief le déséquilibre émotionnel dans notre couple.
Une autre encore, assez logique quand on y pense, me fait dire qu'un fantasme doit le rester et qu'une mise en pratique du pegging n'est peut etre tout simplement ce que je veux.
Toujours est il que les témoignages consultés ici et ailleurs me donnent confiance en l'avenir : comme je l'ai dit à ma femme, le chevillage au début, peut être tordant voire douloureux mais au fur et à mesure que l'on pratique, le plaisir est de plus en plus grand et que c'est surement elle qui en aura le plus. Je croise les doigts en attendant, j''essaie de me détendre...

Bonsoirbonsoir
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Re: et le gode ceinture ???

Message par Bonsoirbonsoir » il y a 1 an

Bonjour Mat21

Je lis ton récit avec une question. J'ai bien compris que pour toi, ce fantasme est une chose que tu investis énormément, au point que paradoxalement sur le point de se réaliser, ça semble t'angoisser.

De toutes ces barrières qui (au fond ) participent peut-être à ton plaisir n 'y a t'il pas moyen de faire une sorte de chemin, de progression?

Parce que dans le paquet il y a une chose qui m'intrigue: c'est que c'est surtout toi qui en a envie, pour des raisons qui t'appartiennent ( et que je comprends étant moi même un utilisateur, récepteur de GC) mais qui contiennent la condition que ça fasse plaisir à ta femme.

Or, si c'est un fantasme que tu as, et qu'après en avoir dessiné les contours et que ta femme accepte et participe, il semble qu'elle le fait pour toi, pour le fait qu'une chose qui est importante pour toi et qui te ferait plaisir apporterait dans votre couple du bonheur parce que tu serais heureux. C'est énorme!

On dirait bien qu'elle accède à ton désir, fais en de même. Je veux dire accède au sien d'apporter ta joie et ta satisfaction dans votre couple et aussi accède toi aussi à ton désir comme elle le fait.

Elle pose ses limites et elle fait bien. Peut-être ne lui en demande pas trop. Je veux dire ne mets pas le couple en jeu si tout n'est pas comme dans l'idéal ( par exemple qu'elle y prenne un plaisir dingue, ou qu'elle partage avec toi l'autre bout du gode…) mais vois la compersion incroyable qu'il y a déjà à entendre ce que tu ressens, à y participer et à chercher à ce que ça se passe bien.

Une autre chose qui, pour moi ( mais chacun est différent) est troublante est que dans tes désirs tu exclus par exemple la levrette parce que trop ambigu du point de vue de la soumission…tu veux dire que tu te sentirais mal à l'aise d'être dans cette position? Ce serait pour toi une humiliation? Pourquoi faudrait-il se soumettre?
Chacun a son ressenti et il n'y a aucun mérite ou honte à être quoi que ce soit, et qui plus est dans les fantasmes, mais ça me fait penser à ce que tu écris, à propos de cette anxiété de ne pas te réjouir d'avoir gravit l'Éverest. Et si ce n'était pas si grave? Et si c'était plus tranquille? Qu'il n'y avait pas une compétition avec toi-même? juste du bien à se faire, de nouvelles ( ou rares) sensations à recevoir, observer…

Si c'était "normal" de demander ce qu'on désire et "heureux" de le recevoir.

J'ai l'impression qu'il y a une sorte de "vertu" de simplicité à demander ce qu'on veut et libre aux autres d'y accéder dans la mesure de leurs goûts, de leurs forces, de leurs moyens. J'ai l'impression qu'il faut-être juste envers soi même et les autres. Juste d'accepter ses fantasmes, juste de les "négocier" avec l'autre, voir ce qui correspond et jusqu'où et surtout d'accepter ses propres limites et les limites de l'autre.

C'est peut-être déplacé et si ça l'est, sache que ce n'est pas mon intention; mais il n'y a, a priori, pas de raison que le chevillage soit douloureux.
Il faut y aller détendu, avec du lubrifiant et la plus grande simplicité possible. Parce que c'est comme ça qu'on sent le mieux ce délice. Il est possible que ce soit "gênant" ou "dérangeant" mais si ça te fais mal…arrête. Laisse toi t'"ouvrir". A tes sensations et pas à tes préjugés.

Je te souhaite le meilleur

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Re: et le gode ceinture ???

Message par TiProust » il y a 1 an

Bonsoirbonsoir a écrit :
il y a 1 an
Bonjour Mat21

...

Une autre chose qui, pour moi ( mais chacun est différent) est troublante est que dans tes désirs tu exclus par exemple la levrette parce que trop ambigu du point de vue de la soumission…tu veux dire que tu te sentirais mal à l'aise d'être dans cette position? Ce serait pour toi une humiliation? Pourquoi faudrait-il se soumettre?
...
bonjour :)

j'ai aussi un peu de mal à comprendre en quoi la levrette serait synonyme de soumission ou d'humiliation... :frown: c'est une position qu'on peut aimer qu'on soit femme ou homme, sans pour autant l'associer à une relation de pouvoir. Dans la configuration femme pénétrant un homme, il n'y a pas qu'une symbolique d'inversion des rôles, ça peut véhiculer plein d'autres choses : abandon, confiance, lâcher-prise que la partenaire peut apprécier.

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Re: et le gode ceinture ???

Message par Yukka » il y a 1 an

TiProust a écrit :
il y a 1 an
Bonsoirbonsoir a écrit :
il y a 1 an
Bonjour Mat21

...

Une autre chose qui, pour moi ( mais chacun est différent) est troublante est que dans tes désirs tu exclus par exemple la levrette parce que trop ambigu du point de vue de la soumission…tu veux dire que tu te sentirais mal à l'aise d'être dans cette position? Ce serait pour toi une humiliation? Pourquoi faudrait-il se soumettre?
...
bonjour :)

j'ai aussi un peu de mal à comprendre en quoi la levrette serait synonyme de soumission ou d'humiliation... :frown: c'est une position qu'on peut aimer qu'on soit femme ou homme, sans pour autant l'associer à une relation de pouvoir.
Hello,

C'est une question très subjective. De mon point de vue, et je parle en terme de relation hétéro, cette position représente ou m'évoque précisément le summum de la domination (donc de la relation de pouvoir) et de l'humiliation.

Cette vision n'est à mon avis pas si rare, étant donné le nombre (majoritaire ?) de représentations où cette position est associée à des relations de pouvoir (de domination), voire à des actes de violence.

Après, bien sûr, chacun.e est libre de déconstruire cette représentation et d'y associer une symbolique différente.

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