Assumer sa bisexualité à 50 ans
Posté : 05 nov 2022 21:21
J'ai un peu plus de 50 ans quatre enfants une femme que j'aime avec qui je suis marié depuis 25 ans avec qui j'ai des relations sexuelles régulières et qui nous procure toujours autant de plaisir.
Même si mes besoins on toujours été plus "important" que les siens je ne l'ai jamais trompée, nous nous sommes trouvé une équilibre avec un recours à la masturbations avec des vidéos ou des magazines...
Et oui dans les année 90 j'avais beau être précurseur en la matière, le net n'en n'était qu'a ses balbutiements et récupérer quelques photos sur un BBS prenait déjà des heures !
C'est a cette périodes que j'ai du admettre le fait que j'étais autant excité par de scènes hétéro que Bi ou Gay.
Avec le temps et pour éviter la routine ma femme a accepté de tester des choses nouvelles : tant pour elle (je n'ai pas de tabou tant que c'est voulu par les deux) jusqu'à un fantasme fort pour moi le Strap On (se faire sodomiser par une femme avec un godemichet) ce qui m'a procurer beaucoup de plaisir mais l'a quand même elle un peu dérangée. Pour moi cela ouvert quelque chose (sans mauvais humour) un fantasme qu'elle ne pouvait malheureusement pas satisfaire a savoir un rapport oral avec le sexe d'un homme, mais cela est resté enfoui en moi
Et puis il y a maintenant presque deux ans nous avons traversé un drame familial : ma plus jeune fille de 8 ans s'est fait sexuellement agresser par un jeune que nous accueillions à l'époque.
La famille au complet a donc entamé un travail avec un psychologue pour surmonter cette épreuve.
Cela commence tout juste a porter ses fruits pour ma fille, mais pour moi cela a fait émerger quelque chose que j'avais tant bien que mal enfoui dans les méandres de ma mémoire.
A savoir que j'avais moi aussi été agressé sexuellement approximativement au même age, un prédateur m'avait attirer dans un coin et m'avait contraint à me laisser faire une fellation, dérangé il n'était pas aller plus loin, me laissant terrorisé et perdu.
Mais a l'époque on n'allait pas vraiment voir un psy pour des choses comme ca !
Mes parents plein de bonnes volonté m'avait réconforté et dit c'était finis de ne plus penser a ça que j’oublierais vite... 40 ans n'aurons pourtant pas suffit pas plus que 80, on oublie jamais !
Il faut apprendre à vivre avec, c'est la seule solution, ce que j'ai donc accepter de commencer a faire.
Mais cela à soulever une vrai questionnement cette attirance sexuelle pour les hommes était elle la suite de ce trauma, car c'est aussi la que réside la perversion du viol chez un jeune enfants. L'acte a beau être violent, non désiré, voir répugnant, il provoque malgré tout une forme d'excitation pour ne pas dire de plaisir car même non désirée cela la première expérience sexuelle.
Ou bien étais je simplement bisexuelle, le seule véritable moyen de savoir était donc de faire une expérience avec un homme, voir si j'arrivais a aller jusqu'au bout et si j'en tirais réellement du plaisir.
Nous avons donc longuement discuter avec ma femme, a savoir si elle acceptais cela ou si on oubliait tout et l'on continuais comme avant.
Elle a filialement elle même tranché en m'offrant une entrée dans un sauna gay.
J'y suis donc allé, trouvé un partenaire et réalisé mon fantasme « faire une fellation à un homme », cela m'a plu et donc confirmé ce que je savais au fonds de moi même a savoir que je suis bien Bisexuel.
Seulement voilà on faisait quoi de ça maintenant ?
On a donc essayer de trouver une « organisation », quand j'avais vraiment envie je l'en prévenais et je lui laissait le temps après de revenir vers moi quand elle le voudrait.
Mais nous avions oublié quelque chose, malgré tout l'amour, la compréhension et l'honnêteté dont nous pouvions faire preuve, dans ce genre de situation il n'y a pas que la comprendre puis accepter la chose il y a aussi la supporter !
Et cela c'est avéré être plus compliqué pour elle qu'elle ne le pensait, mais pour moi aussi
Une de ses principales craintes est que je finisse par « rencontrer » quelqu'un dont je tomberais amoureux.
J'essaie pourtant de lui expliquer depuis le départ que ce n'est pas quelqu'un que je recherche mais quelque chose, que pour moi cette activité sexuelle est totalement dénué de sentiment.
Aussi trivial que cela puisse paraître je fais facilement le parallèle avec la pratique d'un sport, pourquoi le sexe ne peut être considéré comme un besoin simple, comme une activité qui y répond ?
Mais trouver une organisation est plus complexe que je ne pensait, j'ai commencé par avoir recours a des massages tantrique car on restait dans une raltion tarifé plus claire, mais cela ne me satisfait pas vraiment
en fait je préfererait une relation plus humaine plus suivi mais ce n'est pas silmple de trouver....
Je suis donc dans l'expectative
Voila c'est un peu long mais je sais que je ne suis pas seule, que la bisexualité est beaucoup plus courante que la société veut bien l'admettre et qu'elle est sans doute la moins « tolérée » des sexualité.
Même si mes besoins on toujours été plus "important" que les siens je ne l'ai jamais trompée, nous nous sommes trouvé une équilibre avec un recours à la masturbations avec des vidéos ou des magazines...
Et oui dans les année 90 j'avais beau être précurseur en la matière, le net n'en n'était qu'a ses balbutiements et récupérer quelques photos sur un BBS prenait déjà des heures !
C'est a cette périodes que j'ai du admettre le fait que j'étais autant excité par de scènes hétéro que Bi ou Gay.
Avec le temps et pour éviter la routine ma femme a accepté de tester des choses nouvelles : tant pour elle (je n'ai pas de tabou tant que c'est voulu par les deux) jusqu'à un fantasme fort pour moi le Strap On (se faire sodomiser par une femme avec un godemichet) ce qui m'a procurer beaucoup de plaisir mais l'a quand même elle un peu dérangée. Pour moi cela ouvert quelque chose (sans mauvais humour) un fantasme qu'elle ne pouvait malheureusement pas satisfaire a savoir un rapport oral avec le sexe d'un homme, mais cela est resté enfoui en moi
Et puis il y a maintenant presque deux ans nous avons traversé un drame familial : ma plus jeune fille de 8 ans s'est fait sexuellement agresser par un jeune que nous accueillions à l'époque.
La famille au complet a donc entamé un travail avec un psychologue pour surmonter cette épreuve.
Cela commence tout juste a porter ses fruits pour ma fille, mais pour moi cela a fait émerger quelque chose que j'avais tant bien que mal enfoui dans les méandres de ma mémoire.
A savoir que j'avais moi aussi été agressé sexuellement approximativement au même age, un prédateur m'avait attirer dans un coin et m'avait contraint à me laisser faire une fellation, dérangé il n'était pas aller plus loin, me laissant terrorisé et perdu.
Mais a l'époque on n'allait pas vraiment voir un psy pour des choses comme ca !
Mes parents plein de bonnes volonté m'avait réconforté et dit c'était finis de ne plus penser a ça que j’oublierais vite... 40 ans n'aurons pourtant pas suffit pas plus que 80, on oublie jamais !
Il faut apprendre à vivre avec, c'est la seule solution, ce que j'ai donc accepter de commencer a faire.
Mais cela à soulever une vrai questionnement cette attirance sexuelle pour les hommes était elle la suite de ce trauma, car c'est aussi la que réside la perversion du viol chez un jeune enfants. L'acte a beau être violent, non désiré, voir répugnant, il provoque malgré tout une forme d'excitation pour ne pas dire de plaisir car même non désirée cela la première expérience sexuelle.
Ou bien étais je simplement bisexuelle, le seule véritable moyen de savoir était donc de faire une expérience avec un homme, voir si j'arrivais a aller jusqu'au bout et si j'en tirais réellement du plaisir.
Nous avons donc longuement discuter avec ma femme, a savoir si elle acceptais cela ou si on oubliait tout et l'on continuais comme avant.
Elle a filialement elle même tranché en m'offrant une entrée dans un sauna gay.
J'y suis donc allé, trouvé un partenaire et réalisé mon fantasme « faire une fellation à un homme », cela m'a plu et donc confirmé ce que je savais au fonds de moi même a savoir que je suis bien Bisexuel.
Seulement voilà on faisait quoi de ça maintenant ?
On a donc essayer de trouver une « organisation », quand j'avais vraiment envie je l'en prévenais et je lui laissait le temps après de revenir vers moi quand elle le voudrait.
Mais nous avions oublié quelque chose, malgré tout l'amour, la compréhension et l'honnêteté dont nous pouvions faire preuve, dans ce genre de situation il n'y a pas que la comprendre puis accepter la chose il y a aussi la supporter !
Et cela c'est avéré être plus compliqué pour elle qu'elle ne le pensait, mais pour moi aussi
Une de ses principales craintes est que je finisse par « rencontrer » quelqu'un dont je tomberais amoureux.
J'essaie pourtant de lui expliquer depuis le départ que ce n'est pas quelqu'un que je recherche mais quelque chose, que pour moi cette activité sexuelle est totalement dénué de sentiment.
Aussi trivial que cela puisse paraître je fais facilement le parallèle avec la pratique d'un sport, pourquoi le sexe ne peut être considéré comme un besoin simple, comme une activité qui y répond ?
Mais trouver une organisation est plus complexe que je ne pensait, j'ai commencé par avoir recours a des massages tantrique car on restait dans une raltion tarifé plus claire, mais cela ne me satisfait pas vraiment
en fait je préfererait une relation plus humaine plus suivi mais ce n'est pas silmple de trouver....
Je suis donc dans l'expectative
Voila c'est un peu long mais je sais que je ne suis pas seule, que la bisexualité est beaucoup plus courante que la société veut bien l'admettre et qu'elle est sans doute la moins « tolérée » des sexualité.